La Chauve-Souris

Johann Strauss fils

Opérette en trois actes
Livret de Carl Haffner et Richard Genée
d'après Le Réveillon d'Henri Meilhac et Ludovic Halévy
Créée à Vienne, au Theater an der Wien, le 5 avril 1874

donnée en version française

Nouvelle production
Coproduction Folies lyriques, Opéra national Montpellier Occitanie


Location :

Domaine d’O
0 800 200 165
www.domaine-do-34.eu

Du lundi au vendredi de 13h à 18h, jusqu’à 21h30 les soirs de représentations

Tarifs :
Série 1 : 47 € / 42 €
Série 2 : 34 € / 29 €
Série 3 : 15 € / 10 €
Pass Culture : 5 €


Depuis dix ans, Folies d’O fait retentir les nuits d’été des accords de l’opérette, de l’opéra-comique ou de la comédie musicale dans le cadre magique du domaine d’O. West-Side Story, Cabaret, La Belle Hélène, La Périchole, La Belle de Cadix, La Vie parisienne sont parmi les œuvres jouées devant un public qui, en dix ans, a dépassé les 50 000 spectateurs.
Opérette viennoise… N’y aurait-il pas là un parfum de pléonasme ? Comme s’il pouvait y avoir une autre patrie de l’opérette que la ville de la valse, de l’insouciance, de l’élégance des crinolines et des uniformes à brandebourgs… En cette année 1874, quand Vienne découvre La Chauve-Souris, Paris s’est abîmé dans sa guerre perdue et sa Commune sanglante. Alors c’est dans la capitale impériale que, désormais, on danse, on chante, on entraîne les masques dans des tourbillons de plaisir.
Et quel plus beau tourbillon que celui de La Chauve-Souris ? Quel plus beau fracas de fête que celui conduit par Johann Strauss-le-fils, lui qui faisait valser princesses et lingères sur des mélodies impossibles à oublier une fois, une seule fois, entendues ? La Chauve-Souris, c’est cela : un long cortège de noceurs en goguette, de masques derrière lesquels, comme jadis chez Mozart, s’égarent épouses et maris, d’aristocrates désabusés et de soubrettes délurées. Valsez passions ! Valsez amours !
Et peu importe l’intrigue, peu importe cet extravagant costume de carnaval, ce déguisement de chauve-souris qui appelle de sombres vengeances : c’est bien le dernier emprunt de Vienne à Paris puisque l’idée vient de Meilhac et Halévy, les librettistes d’Offenbach. Mais c’est Vienne

Artistes

  • Thomas Costerg
    lumières
  • mise en scène, mouvement

  • Gabriel von Eisenstein, rentier
  • Diana Axentii
    Rosalinde, sa femme
  • Mélanie Boisvert
    Adèle, sa femme de chambre
  • Nicolas Rivenq
    Falke, notaire
  • Marc Larcher
    Alfred, professeur de chant
  • Guilhem Terrail
    Prince Orlofsky
  • Lionel Peintre
    Frank, directeur de la prison
  • Véronique Parize Ida
    sœur d'Adèle
  • Jean Varela Frosch
    gardien de prison