Vera Cirkovic

Vera Cirkovic débute sa formation musicale à l’âge de 4 ans à Rouen, elle étudie le piano, la flûte traversière, l’art dramatique, la danse classique et le chant lyrique. Elle entre ensuite au Conservatoire National Supérieurde Paris, y passe son prix et part se perfectionner à l’opéra Studio de l’opéra du Rhin.
Vera Cirkovic a étudié avec Gabriel Bacquier, Juan Oncina à Barcelone, Gina Cigna, Gino Bekci, Lorraine Nubar et Susanne Sarroca.
Elle reçoit une bourse du Ministère des Affaires Étrangères, et une autre du Ministère de la Culture, lauréate de nombreux prix internationaux parmi lesquels : Premier prix au concours Viñas de Barcelone, Premier prix au concours de Oporto de Cittá Ercolano à Naples, Prix du public au concours Opera Johannesburg et finaliste au concours Pavarotti à Modène.
Elle débute sa carrière avec Gabriel Bacquier dans La vie parisienne, donnant plus de 80 représentations au Théâtre de Paris.
Elle a fait partie des troupes de l’Opéra de Lille, de l’Opéra de Strasbourg, de l’Opéra de Nice, a été artiste en résidence à l’Opéra de Metz et a été invitée à chanter sur de nombreuses scènes nationales comme l’Opéra de Bordeaux, d’Avignon, Rennes, Lyon, Marseille, Tours, Rouen, Massy...
Vera Cirkovic s’est ensuite produite à l’auditorium de Las Palmas, l’Opéra de Zagreb, Teatro Municipal de Lima,Teatro Mella de la Havane à Cuba, Teatro Municipal de Sao Paolo, Teatro Colón de Bogota Palacio Bellas artes de Mexicó, et les principales salles d’Argentine dont le Teatro Colón et le Luna Park de Buenos Aires...
En France, elle interprète les principales héroïnes des opéras de Mozart ainsi que les grands rôles d’opéra comique comme La grande Duchesse de Gérolstein ou La fille de Madame Angot.
Son répertoire compte de nombreuses présentations de musiques sacrées dont Le Messie de Häendel, le Requiem de Mozart, le Requiem de Rossini ...
A l’étranger son répertoire est éclectique, de Puccini à Wagner mais aussi Honegger interprétant Jeanne au bûcher, La première prieure dans les Dialoguesdes Carmélites  ou La voix humaine  de Poulenc.  Elle participe au Festival Martha Argerich et  collabore avec les plus grands orchestres d’Amérique latine.