Il est des chefs-d’œuvre du grand répertoire que l’on croit bien connaître. Pourtant, à chaque nouvelle écoute, ils se révèlent sous un jour différent, comme ce poème de Goethe pour chœur d’hommes mis en musique par Schubert. Ou bien encore sa sublime Symphonie n° 8, « inachevée » parce  que ses deux derniers mouvements manquent à l’appel suite à la mauvaise nouvelle de sa contraction de la syphilis. Pour nous consoler, rien de  mieux que la Sérénade n° 9 dite « Posthorn » de Mozart, au caractère festif et jubilatoire. Écrite sur le modèle d’une symphonie, elle s’en écarte par  l’abondance des solos des bois, technique novatrice à l’époque.

Durée : 2h avec entracte

Entrée libre, accès le soir même sur présentation de la carte d'étudiant, dans la limite des places disponibles