Mendelssohn / Beethoven
Felix Mendelssohn Les Hébrides, Ouverture pour orchestre opus 26 (La Grotte de Fingal)
Ah ! ritorna, età felice, Infelice n° 1 opus 94
Ludwig van Beethoven Ah ! Perfido ! pour soprano et orchestre opus 65
Ludwig van Beethoven Symphonie n° 7 en la majeur opus 92
Fin du classicisme, débuts du romantisme… En 1812, la Symphonie n° 7 de Ludwig van Beethoven sublime tout en dépassant les conventions du classicisme viennois. Vingt ans plus tard, l’Ouverture des Hébrides de Félix Mendelssohn trouve sa source dans les romans du très romantique écrivain écossais Walter Scott. De façon similaire, à l’air de concert « Ah ! Perfido », le « Ah ritorna, età felice, infelice » semble répondre. Beethoven et Mendelssohn puisent l’un et l’autre dans une situation conventionnelle (une femme abandonnée exprime sa douleur) pour en donner deux lectures très diverses. Entre les deux musiciens, le souffle du romantisme était passé…
Artistes
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Gerd Albrechtdirection
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Petra Froesesoprano